Par Michael « Bauble » Plourde
Au fil des ans, beaucoup de mes anciens collègues de l’impro au Nouveau-Brunswick se sont mariés et/ou ont eu des enfants. Avec chaque naissance, la question se pose : on va-tu voir ce kid-là suivre dans les traces de son père ou de sa mère et devenir un joueur d’impro ? Avec des ligues qui existent depuis plus de 30 ans, c’est comme presque impossible que ça n’arrive pas. Mais malgré tout, nous attendons toujours de voir le premier joueur provenant d’un ancien joueur d’impro accéder au réseau d’improvisation des écoles secondaires

Pourtant, plusieurs anciens ont des enfants qui sont à ce niveau scolaire et d’autres sont même rendus à l’université. Pourquoi n’est-ce pas encore arrivé ?! Voici des théories :
- Attend un peu ! Il y en a qui sont seulement au primaire ou à l’intermédiaire et qui ont l’intention de jouer au secondaire plus tard.
- La pression de performer au même niveau que leurs parents leur font peur.
- Ils ont autre chose à faire de leur vie.
- Ils ont été exposés tellement jeune à l’impro que rendus adolescents, ils voient ça comme du « kid’s stuff » avec aucun défi ?
- Come on, dad. T’es assez pas cool.

Selon mes sources, il y a de l’espoir ! Les Jeux de l’Acadie donnent la chance de voir de nouveaux visages ! L’an dernier, on y a vu la progéniture d’anciens Licumiens ! (Well, avec quatre enfants, c’était comme about time !)
Avis aux enfants d’anciens joueurs : la porte est ouverte, on vous attend. Malgré tout, j’ai bien hâte de voir le jour quand on pourra dire à un kid : « Félicitations, là va montrer les prix que ton père ou ta mère n’a jamais été capable de remporter durant sa carrière d’impro. » 😉
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