Par Alain Degrâce
Avec cette série d’articles, nous proposons créer un Musée virtuel de l’impro au Nouveau-Brunswick. Parfois un seul objet sera discuté, parfois une thématique rassemblera plusieurs artefacts dans la même « exposition ». Si vous voulez agir comme conservateur invité et présenter votre propre collection un de ces jours, prière de nous contacter et nous ouvrirons une aile du musée bien à vous.
En 2004, bien avant la tenue de la première saison de la L.i.C., l’entraîneur de l’équipe d’improvisation de l’École Secondaire Népisiguit, Alain Degrâce, cherche à bâtir une nouvelle vague de joueurs et joueuses potentiels pour les années à suivre. L’idée de la ligue civile est encore dans son stade embryonnaire, mais il est définitif que si des perles se font démarquer lors de cette formation, une place pourrait les attendre à la L.i.C. cet été-là.
Les écoles élémentaires avoisinantes sont donc invitées à envoyer des représentants lors d’une pleine journée d’activités à Bathurst. À la conclusion des ateliers du matin, trois équipes sont formées et on procède à un mini-tournoi à la ronde. Chaque équipe dispute quatre matchs.
Notez bien la présence d’un certain Sébastien Haché dans l’équipe des Bleus. Non seulement il joue le plus souvent, mais il se tape le meilleur apport. À la conclusion de la journée, lui et Benoît Arseneau démontrent un intérêt de devenir membre de la L.i.C.. Ils deviendront les juges de ligne de la saison inaugurale. À noter aussi la présence de Sébastien Mallet, qui allait porter un jour les couleurs de l’E.S.N. ainsi que de la L.i.C.. Kimberly Morrison avait fait excellente impression, mais malheureusement, elle n’a pas développé un intérêt envers notre discipline.
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